Vape Experts
Découvrez l’ensemble des matériels destinés aux experts de la vape. Retrouvez des box et mods mécaniques, bottom feeder et tout pour la fabrication des montages.
Le matériel des experts
Le matériel des experts est celui qui leur permet de maîtriser tous les paramètres du vapotage avec une cigarette électronique : atomiseurs reconstructibles, drippers, box ou tube mécanique, bottom feeder. Autant de termes qui évoquent des matériels qui demandent quelques connaissances pour bien les utiliser.
Qu’est-ce qu’un(e) vapoteur(se) expert ?
Les vapoteurs que l’on qualifie d’experts sont ceux qui ont développé des connaissances et une expérience de la vape, qui leur permettent d’obtenir de plus grandes satisfactions de vapotage. Cela commence par le fait de savoir comment bien équilibrer la puissance et l’aspiration avec un kit traditionnel, en MTL comme en DL, suivant le eliquide utilisé par exemple. Ils en savent assez pour trouver le sweet spot, la bouffée parfaite, la bonne température de la vapeur, le bon volume, la bonne intensité du hit. Et ces connaissances leur permettent aussi de tirer le meilleur parti du matériel expert : RBA, RTA, RDA, Mods Mech…
Du coup, on peut dire que le matériel expert se découpe en trois catégories :
L’histoire du matériel expert
Ce type de matériel a été développé au début de la cigarette électronique, pour dépasser ses limitations techniques. Inventée et industrialisée par les chinois, la e-cigarette de l’époque était en effet limitée à des puissances faibles (moins de 15 watts), sans réglage, et avec des résistances de 2 ohms, en inhalation indirecte très serrée, bien sûr. Pour augmenter la puissance, il aurait fallu diminuer la valeur de la résistance. Mais ce n’était pas possible : à 1.8 ohm, l’électronique se mettait en protection.
Des vapoteurs pionniers, sur les forums, ont échangé leurs idées pour obtenir plus de puissance : il fallait éliminer cette électronique pour pouvoir utiliser des résistances plus basses. Certains ont donc fabriqué, avec des tubes en cuivres ou des boîtes de bonbons, des batteries sans électronique. Ou plus exactement, des “mods”, c’est-à-dire une modification de la ecig de base. L’accu était connecté en direct sur l’atomiseur, il n’y avait plus de limite. Ils ont ensuite démonté leurs résistances, pour remplacer le fil de 2 ohm par un autre de 1 ohm. Ils pouvaient ainsi atteindre des puissances phénoménales de 30 watts. Vous connaissez la suite de l’histoire : certains de ces pionniers sont devenus des “moddeurs”. Des artisans passionnés qui ont inventé les drippers, les atomiseurs reconstructibles, les mod tube et box mécanique, le bottom Feeder… Ces mods que nous connaissons aujourd’hui ont changé la vape, en offrant des plaisirs impossibles à l’époque.
Le matériel expert est-il encore d’actualité ?
La question se pose en effet. L’industrie a énormément progressé, et on trouve aujourd’hui des box électroniques capables de fournir plus de 200 watts avec des résistances de 0.1 ohm. Quel est alors l’intérêt d’un mod méca ? On trouve, de la même manière, des clearomiseurs qui, avec leurs résistances en fil ou en mesh évoluées, produisent une vapeur de grande qualité, et des saveurs précises, en MTL bien sûr, mais aussi en DL avec de grandes productions de vapeur. Est-ce que les atomiseurs reconstructibles peuvent faire vraiment mieux ? Hé bien, ce n’est pas si évident. Jusqu’en 2015, oui le gain de qualité était énorme. Depuis, les industriels ont tellement amélioré leurs cigarettes électroniques grand public que l’écart s’est grandement réduit. Les mods experts apportent-ils aujourd’hui une vraie valeur ajoutée par rapport aux meilleures cigarettes électroniques ?
Qualité, économie et plaisir des mods experts
Oui, il y a encore un intérêt à utiliser des mods experts, il y en a même quatre:
1. La qualité et la diversité de la vape
Les atomiseurs reconstructibles actuels, quel que soit leur type (tank, dripper…), bénéficient de tout le savoir faire accumulé, chez les moddeurs comme chez les industriels de la cigarette électronique, depuis plus de 10 ans. Que ce soit pour vapoter en MTL, en DL restreint ou en DL franchement subohm, tous les fabricants savent comment placer les posts sur un plateau reconstructible, positionner au mieux les arrivées d’air pour produire une vapeur de grande qualité. C’est sur ce point, technique, qu’un bon atomiseur reconstructible reste potentiellement supérieur au meilleurs clearomiseurs. Sa cloche d’atomisation, et le montage du coil perpendiculaire au flux d’air, sont plus efficaces pour exprimer au mieux les saveurs. À condition, bien sûr, de savoir réaliser un montage adapté. La possibilité de monter le type de fil que l’on souhaite, simple, clapton, fused, en kanthal, acier ou nichrome, est un autre atout pour créer la vapeur parfaite. La différence entre un atomiseur reconstructible et un clearomiseur est là. Les clearomiseurs offrent toujours la même vape, de bonne qualité pour les meilleurs, sans avoir besoin de savoir faire. Les atomiseurs reconstructibles peuvent faire mieux, si on sait les exploiter, ou pire, si on ne sait pas. Essayez par exemple un Aston RTA (Aston Vape) en DL restreint, un Pioneer (BD Vape) en MTL, ou un Reload S Rta (Reload Vapor) en DL, et vous mesurerez concrètement leurs performances.
2. Les économies réalisées
Ce n’est pas la raison principale qui peut motiver à adopter des mods experts, mais s’en est une. Deux exemples : refaire le montage d’un atomiseur reconstructible revient en gros à 20 cents, et certains coils peuvent durer plusieurs semaines. Il suffit de le nettoyer régulièrement et de changer la mèche de coton. Un mod mécanique dure le temps d’une vie, au moins. Vous avez déjà vu une box électronique durer ne serait-ce que 10 ans ?
3. Le plaisir de faire soi-même
C’est, il faut bien le dire, la motivation principale des vapoteuses et vapoteurs adeptes du reconstructible et des mods mécaniques. Rien n’est plus excitant que de découvrir un nouvel atomiseur, et de ne pas savoir comment le monter. C’est un défi. Cela prendra 2 jours, 2 semaines ou 2 mois pour trouver la solution, le montage parfait. Mais quelle satisfaction. Nettoyer son mod mécanique en laiton avec une lingette de CapCode ou de Mirror, ce n’est pas une corvée, mais un plaisir. C’est aussi la raison pour laquelle, si le matériel expert peut-être économique, il ne l’est pas toujours. Les experts sont souvent tentés par l’idée de tester ce nouveau fil, ce nouvel atomiseur, ce nouveau mod box en série. Quand ils ne sont pas tentés par la collection pure est simple, ou, pire, par la fabrication. Oui, il est possible de fabriquer soi-même une box mécanique, ou une box basée sur un chipset PWM. Vapoter est un plaisir. Utiliser un matériel expert, c’est doubler ce plaisir.
4. L’innovation
Au début de la cigarette électronique, ce sont les moddeurs, avec leurs mods et atomiseurs experts, qui ont transformé les manières de vapoter, avec les vapoteurs eux-mêmes, qui expérimentaient leurs créations et les commentaient. Sans eux, pas de vape subohm, par exemple, et pas de résistances en mesh. Ce sont des moddeurs qui ont imaginé pouvoir vaper à 100 watts, puis ont travaillé pour concevoir des drippers capable de le faire. Moddeurs et vapoteurs experts ont aussi expérimenté les accus pour trouver ceux que l’on peut utiliser pour ça, sans se mettre en danger. Ce sont eux qui ont eu l’idée de faire une résistance en mesh, qui ont essayé, qui ont raté. Qui ont recommencé, jusqu’à trouver comment faire. L’industrie, ensuite, reprend certaines de ces idées, les simplifie pour les rendre accessibles à tous.
Choisir de vapoter avec du matériel expert, c’est aussi soutenir cette innovation, y participer en expérimentant les premiers modèles, et en discutant avec les moddeurs pour qu’ils aillent plus loin.
Que doit connaître et savoir un(e) vapoteur(se) expert(e) ?
Oui, connaître et savoir, ce n’est pas la même chose. Par exemple, vous savez que Rome existe, vous savez des choses sur Rome, mais vous ne pouvez connaître la ville de Rome qu’après l’avoir arpentée, avoir fréquenté ses habitants, après avoir compris son histoire… Il en va de même pour développer son expertise de la vape. Il y a des choses à savoir, et des choses à connaître, que seule l’expérience apprend.
Savoir
Pour développer son expertise, il convient de savoir un certain nombre de choses, dont on fait vite le tour : les lois de l’électricité (U=RI, P=UI), ce que représente la tension, l’intensité, la puissance et la résistance. Les différents matériaux avec lesquels on peut faire des coils et leur comportement résistif : Kanthal, acier, Nickel, Titane et quelques alliages comme le NiFe30 par exemple. Un domaine de savoir important est celui des accus, notamment en termes de sécurité. Savoir comment un accu fonctionne, comment le recharger au mieux en fonction de son usage, ce que c’est qu’un courant de décharge maximum.
Expérimenter
Ce qu’une vapoteuse, ou un vapoteur expert fait de ce savoir, avec l’expérience, c’est par exemple ceci. L’acier est utilisé pour vaper en contrôle de température. En effet, la résistivité de l’acier augmente un peu avec la température, et c’est en surveillant cette résistance que le chipset peut réguler la température de vaporisation. Changeons de point de vue : un coil en acier voit sa résistance augmenter en chauffant. Du coup, si par exemple on calcule un coil de 0.5 ohm en acier, pour l’utiliser sur un mod méca, pour vaper autour de 30 watts. Une fois chaud, il fera par exemple 0.6 ohm, nous aurons donc une puissance de seulement 23/24 watts. Pas terrible. En fait, il faudrait faire un coil de 0.4 ohm, pour avoir 0.5 ohm une fois chaud. Du coup, la vape démarre à 35 watts quand le coil est froid, pour se stabiliser très vite à 30 watts (moins d’une seconde). Et là, bingo : nous venons d’inventer le preheat automatique pour mod mécanique.
Connaître
Bien plus encore, pour devenir expert, il faut connaître, faire l’expérience réelle de nombreux aspects de la vape. Vous pouvez savoir comment faire un coil de la bonne valeur, et ne jamais arriver à bien faire fonctionner un atomiseur avec ce coil. Parce qu’il ne sera pas placé à la bonne hauteur, parce que le coil ne chauffe pas assez vite, ou trop vite. De la même manière, aucun savoir ne dit comment faire la mèche de coton parfaite. Sa densité, son épaisseur et sa longueur idéales dépendent de chaque atomiseur. Pourtant, avec l’expérience, un vapoteur expérimenté prélève pile la juste quantité de coton de son sachet, et tout se règle comme il faut sans même y penser.
Tout l’enjeu est de transformer le savoir en compétence réelle. Vous savez par exemple que tel accu est donné pour 20A de courant de décharge maximum. Mais est-ce que vous sentez à quel moment cet accu, en chain vape, peut dépasser 80° et devenir potentiellement dangereux ?
Humilité et partage
Bref, utiliser du matériel expert et développer son expertise de la cigarette électronique est à la portée de tous, à une seule condition : avoir l’humilité de connaître ses limites actuelles et d’apprendre en permanence en se renseignant, en discutant avec d’autres vapoteurs, et en expérimentant avec méthode. Un bon expert, quel que soit son domaine, c’est d’abord quelqu’un qui sait ce qu’il ne sait pas, et qui progresse.
Quel est l’intérêt d’un atomiseur reconstructible ?
On les appelle RBA de manière générique : ReBuildable Atomizer. Leur intérêt principal, c’est leur diversité.
Diversité des types d’atomiseurs, qui offrent des sensations différentes. On différencie les RTA (ReBuildable Tank Atomizer) en fonction du placement de leur plateau. En bas (Bottom coil) pour une vapeur en général plus froide, ou en haut (Top coil) pour une vapeur plus chaude et proche de celle d’un dripper. On appelle aussi ces derniers RDTA (Rebuildable Dripper Tank Atomizer). Il y a les RDA justement (Rebuildable dripper Atomizer), sans réservoir, que l’on alimente au goutte-à-goutte, et les RSA (Rebuildable Squonk Atomizer), qui sont aussi des drippers, dont le pin 510 est percé pour être alimenté en eliquide par le dessous, en bottom feeder.
Diversité des montages. Avec un atomiseur reconstructible, vous pouvez réaliser vos résistances sur mesure, en fonction de vos goûts en matière de vapeur. Légère et douce, intense et chaude, volumineuse, dense, la gamme de sensations est plus large qu’avec un clearomiseur, aux résistances standardisées. Simple coil pour optimiser la finesse des saveurs, double coil pour faire plus de vapeur, triple coil pour rivaliser avec les stratocumulus, toutes les vapes sont possibles.
Vous vapotez en MTL entre 10 et 20 watts ? Jetez un œil sur le Berserker (Vandy Vape). Il est simple, bon marché, et offre une vapeur fine, des saveurs sublimes.
La vape subohm vous transporte à partir de 50 watts ? Intéressez-vous au Blotto, ou Blotto mini (Dovpo). Conçu par un amateur de bières artisanales et de gros nuages, il savent pourtant restituer des saveurs puissantes.
Vous préférez le DL restrictif ? La gamme des atomiseurs Aston (Aston Vape, créée par le moddeur AllianceTech Vapor), est faite pour vous. Ils sont étudiés pour développer les meilleures saveurs entre 25 et 35 watts.
Quel est l’intérêt d’un mod tube ou d’une mod box méca ?
Les mod mech, ou mécaniques, assurent une connexion directe entre l’atomiseur et l’accu, et présentent trois intérêts évidents : ils ne tombent pas en panne, ils offrent une qualité de vape idéale, et une ergonomie particulièrement satisfaisante, pour ceux qui aiment.
Si vous partez à l’aventure dans le désert ou en Amazonie, prenez un mod mécanique, tube ou box, un tournevis, un chiffon et un chargeur solaire. Dans ces conditions, une box électronique a toutes les chances de tomber en panne en quelques jours. Une chute dans l’eau, du sable dans le chipset et c’est terminé. Un tube ou une box mécanique sont entièrement démontables, il suffit de les nettoyer régulièrement pour qu’ils fonctionnent. D’accord, tout le monde ne part pas à l’aventure. Il reste toutefois très satisfaisant de posséder un matériel dont la durée de vie s’approche de l’infini, qui n’est pas un consommable-jetable, comme la plupart des box électroniques aujourd’hui. Prenez en main un mod Quake (L’atelier) pour découvrir ce que c’est que l’ergonomie et la robustesse. Il est un peu coûteux ? Certes, 2 fois plus qu’une box. Mais ramené à son espérance de vie, il est bien moins cher qu’une box électro.
L’ergonomie est un autre aspect de l’intérêt des mods mech. Il y a d’abord le switch qui, mécanique, offre une sensation plus charnelle, intuitive. Certains les préfèrent très souples, d’autres très fermes. Tous les adeptes ont, après un rapide apprentissage, un rapport physique avec leur mod mécanique. Les mods tubes accentuent encore ce rapport par une prise en main particulière, et le poing qui se serre pour actionner le switch. Les premières fois, c’est déstabilisant, mais, très vite, cela devient évident. Ce sont les box électroniques que l’on finit par trouver bizarres. Il faut prendre en main un mod Predator ou Hacksaw (CompLyfe), pour savoir ce que c’est que la vape américaine en mode Hells Angels.
Enfin, les bons mods mécas offrent une qualité de vape particulière, difficile à décrire objectivement. D’abord, même si les box électroniques ont beaucoup progressé, il reste qu’un mod mécanique offre une réactivité inégalable, au départ de la bouffée. Ensuite, les amateurs estiment que l’alimentation électrique du coil est plus régulière et directe, que la qualité de vaporisation est légèrement meilleure. Ils reconnaissent que la différence est faible, mais que, avec l’habitude, elle est sensible. Que ce soit en inhalation directe ou indirecte, il y a un avantage à cette connexion directe, sans filtre, entre l’accu et l’atomiseur.
Quel est l’intérêt d’un dripper ?
Un dripper, ou RDA, c’est la base de la vape. C’est l’atomiseur le plus simple possible. En effet, sur un RTA, avec réservoir de e liquide, il faut tout un système pour contrôler l’arrivée de eliquide dans le coton et la résistance, qui peut engendrer des difficultés : trop ouvert, ou pas assez de coton dans la mèche, l’atomiseur fuit. Trop fermé, ou un coton trop tassé, c’est le dry hit assuré.
Avec un dripper, pas de réservoir, par de complication : c’est le vapoteur qui verse du e-liquide directement de son flacon, pour saturer la mèche de coton. La résistance fonctionne alors au mieux pour faire une belle vapeur, dense en inhalation directe, et pleine de saveurs subtiles en inhalation indirecte.
En contrepartie, il faut penser à remettre du eliquide régulièrement, il faut s’occuper de son vapotage. C’est une contrainte, mais c’est surtout une invitation à vaper autrement, à être plus attentif. Avec un dripper, on ne vape pas sans y penser. On est attentif aux saveurs, on déguste, on optimise son nuage, on s’occupe activement de sa vape.
Par ailleurs, un dripper, par sa construction, offre la meilleure expérience de vape possible. En effet, l’autre caractéristique d’un RDA, c’est que la résistance est très proche du drip tip. L’inhalation de la vapeur est directe, sans cheminée qui la refroidit ou perturbe plus ou moins ses saveurs.
Choisir un dripper, c’est donc choisir de vapoter autrement, avec conviction, pour le plaisir, et non par habitude. Beaucoup de vapoteurs utilisent ainsi un atomiseur tank dans la journée, pour son côté pratique, et un dripper le soir, pour déguster, par exemple avec un modèle de Nightmare (Suicide Mods et Vaperz Cloud).
Quel est l’intérêt d’une box bottom feeder ?
Le bottom feeder, c’est le fait d’alimenter un atomiseur en eliquide par le dessous. La plupart du temps, il s’agit de drippers, dont le pin positif est percé d’un trou, qui laisse remonter le eliquide vers les mèches. Mais d’ou vient le e-liquide ? D’une bouteille, qui se trouve dans la box. Le principe est très simple.
Une box Bottom Feeder (ou Box BF) peut être électronique ou mécanique, peu importe. Elle ressemble à une box double accu, mais n’en comporte qu’un, l’autre emplacement est occupé par une fiole BF souple, remplie de e-liquide. De cette fiole sort un tube en silicone qui va vers le connecteur 510 de la box, dont le pin positif est aussi percé. Il suffit alors de presser sur la bouteille pour que le e liquide remonte vers le pin de la box, passe dans celui du dripper et humecte les mèches.
L’intérêt est alors évident : vous bénéficiez de la qualité de vape d’un dripper, tout en ayant une réserve de eliquide qui évite d’avoir à verser directement le eliquide sur les mèches. C’est le meilleur des deux mondes : La qualité du RDA, et la facilité du RTA.
Aujourd’hui, presque tous les drippers sont vendus avec deux pins : l’un est plein, pour l’utiliser en dripper, l’autre est percé, pour l’utiliser en squonker.